Imaginez des créatures fardées, habillées de noir, mi-sorcières, mi-bouffons, à l'allure à la fois grotesque, irréelle et inquiétante.
Si un jour la peste arrivait dans une ville heureuse... Pour les comédiens polonais en exil cette peste prend tour à tour les visages hideux de la guerre, la répression, l'emprisonnement, la douleur, l'intolérance, la solitude, le conditionnement de la pensée...
«Un théâtre payé avec la vie
Le huitième jour de la semaine.
Au-delà du temps officiel...»